Édito #5 – Reproduisons !

Ça devait arriver : un jour vous vous levez, et tac, c’est une fatalité, le numéro 5 de REALPOETIK est dans les bacs.

 

Comme on est déjà de vieux amis, on ne va pas vous rappeler à quel point REALPOETIK est bon pour votre transit, votre circulation, la bonne tenue de vous cheveux, l’odeur de vos aisselles, vos succès en affaires, votre chance au jeu, le retour de l’être aimé. 

 

Non. On va passer directement au programme.

 

Au programme, avant toute chose, de la poésie et la poésie collection mai-juin 2016, c’est Thierry Radière qui renifle sous la pluie et Patrice Maltaverne en reportage à Jardiland.

 

Puis il y a une nouvelle catégorie : REPRODUCTION.

 

Reproduction, comme LA reproduction, celle-là même que vous connaissez, que vous avez survolée en quatrième, à laquelle on s’adonne avec un fusain et une belle feuille Canson, un marteau et un burin, un stylet et une plaque d’argile, un photocopieur et une prise de courant, un spermatozoïde et un ovule, un vieux Playboy et un tube à essais.

 

Pour le premier essai de REPRODUCTION, c’est un connaisseur en tubes qui s’y colle : Marc Lévy, auteur à multiples succès, parolier d’occasion pour Jenifer et le regretté Grégory Lemarchal.

 

En exclusivité mondiale pour REALPOETIK, il versifie et poétise un passage de l’un de ses plus réputés romans, Où es-tu ?. On ne saurait trop le remercier. Merci, Marc.

 

Tant d’émotion et de suspense ne doivent pas vous faire louper la rubrique Masse Critique : ce mois-ci, ce sont des sujets de première importance qu’on abordera, puisque Grégoire Damon est allé décortiquer les écrits gnostiques de Gérard Depardieu et qu’Émile Puyg va vous révéler où il planque son pognon.

 

Et comme REAL # 5 entend comme tout le monde jouir de son droit à être beau, les illustrations que vous verrez ici sont dues à l’artiste multi-disciplinaire Cendres Lavy.

 

Les anciens numéros sont bien entendu disponibles dans la catégorie VIEILLERIES et parfaitement consommables, pouvez même partir en vacances en laissant les fenêtres ouvertes, ça sentira pas.

 

En vous la souhaitant encore meilleure que la dernière fois,

 

Les tôliers.